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école Sainte-Marie à Saint-Chamond
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28 juin 2018

Léon GUILLAUMOND

les 146 anciens élèves de Sainte-Marie morts pour la France, 1914-1918

 

 

 

Léon GUILLAUMOND

 

 

 

MPLF page accueil Mémoire des hommes

Léon Joseph Adrien Guillaumond n'a pas de fiche MPLF (mort pour la France).

 

 

Léon Guillaumond est né le 10 août 1883 à Fay-le-Froid, auj. Fay-sur-Lignon (Haute-Loire). Il est mort le 25 octobre 1918 à Lor (Aisne). Il avait trente-cinq ans.

Il a probablement quitté le collège Sainte-Marie en juillet 1900.

Lors de son recensement, il était étudiant en médecine.

En septembre 1914, il est nommé médecin aide-major de 2e classe de réserve pour la durée de la guerre. Mis à la disposition du directeur du service de Santé de la 14e région (Lyon), puis réintégré dans la subdivision du Puy le 5 octobre 1914. Promu médecin aide-major de 1ère classe de réserve à dater du 17 septembre 1916.

En 1918, il était médecin à la 43e Division d'infanterie. Le 25 octobre, il se trouvait dans le secteur de Le Thour et Béthancourt où il fut mortellement touché.

 

 

fiche matricule de Léon Guillaumond

 

Léon Guillaumond, fiche matricule (1)

Léon Guillaumond, fiche matricule (2)

Léon Guillaumond, fiche matricule (3)
fiche matricule de Léon Guillaumond, né le 10 août 1883

 

 

Sainte-Marie, Livre d'Or, 1914-1918

Léon Guillaumond
de Montfaucon
médecin militaire

Léon Guillaumond, parti le 2 août 1914 et affecté comme médecin traitant à Vienne, ne voulut point rester à l’intérieur.

Sur sa demande, il fut envoyé aux armées et le 29 novembre de cette première année de guerre, il fut incorporé au 108e territorial de marche.

Une maladie l’obligea à suspendre ses services et après sa guérison on l’attacha à la place de Lyon, où il occupa différents postes, tantôt à l’hôpital complémentaire 21, tantôt à la poudrerie de Saint-Fons.

Désigné de nouveau pour être dirigé vers la 43e D.I. (1) bataillon de marche, il passa successivement à l’ambulance 7/21 et au G.B.D./43 (2). C’est dans la dernière campagne, à la veille de la victoire, le 25 octobre 1918, qu’il trouva une mort glorieuse.

Elle était glorieuse en effet pour le cher major puisqu’il tombait «à son poste en soignant ses blessés» : rien de peut être plus expressif que cette phrase de sa citation posthume.

1 - D.I. : division d'infanterie.
2 - G.B.D. : groupe des brancardiers divisionnaires.

 

 

une ambulance chirurgicale

 

ambulance chirurgicale 21, Villers-Bretonneux
ambulance chirurgicale 21, à Villers-Bretonneux (Somme)

 

 

le 25 octobre 1918, Étienne Guillaumond accompagne l'attaque

 

JMO service Santé 43e Div, couv
J.M.O. du service Santé de la 43e Division d'infanterie, 1917-1918

 

JMO service Santé 43e Div, 25 octobre 1918
J.M.O. du service Santé de la 43e Division d'infanterie, 25 octobre 1918

 

25 octobre

La 43e Division attaque le 25 au matin. Deux groupements. Groupement de droite en liaison avec la 169e Division, 1er bataillon de Chasseurs à pied et 149e régiment d'infanterie. Poste de santé à Le Thour. Groupement de gauche en liaison avec la 170e Division d'infanterie, 31e bataillon de Chasseurs à pied et 158e régiment d'infanterie. Poste de santé sur la route de Le Thour à Béthancourt.

 

 

 

la mort du médecin Guillaumond, le 25 octobre 1918

 

JMO 43e Division, mort Guillaumond, 25 octobre 1918
extrait du J.M.O. du service de Santé de la 43e Division d'infanterie

 

Lor sur carte actuelle, légendé
Lor est juste à la limite entre l'Aisne et les Ardennes

 

 

Lor, en venant de Le Thour, aujourd'hui

 

Lor, août 2012 (1)
entrée de Lor, en venant de Le Thour (août 2012)

 

Lor, août 2012 (2)
mairie-école de Lor (Aisne), août 2012

 

 

 

 

 

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