les 146 anciens élèves de Sainte-Marie morts pour la France, 1914-1918
Joseph Déchelette
Joseph DÉCHELETTE
Joseph Déchelette est né le 8 janvier 1862 à Roanne. Il est mort le 4 octobre 1914 à Vingré (Aisne). Il avait cinquante-deux ans.
Élève à Sainte-Marie, de 1871 à 1879, il est devenu un grand archéologue, spécialiste de la protohistoire française et de l'archéologie celtique européenne. En décembre 1911, il est membre correspondant de l'Académie des Inscriptions et belles-lettres.
En 1914, il demande à inétgrer une unité sur le front et frappé au tout début de la guerre : blessé le 3 octobre par un éclat d'obus, il meurt le lendemain à 12 heures 45. Après avoir été enterré d'qbord dans un petit jardin du hameau de Vingré, il est aujourd'hui inhumé dans la nécropole militaire nationale du Bois-Roger (1) à Ambleny dans l'Aisne, carré F tombe 83.
1 - On trouve les deux noms : Bois-Robert (sur les cartes postales anciennes, par exemple) et Bois-Roger (aujourd'hui).
son parcours militaire
En 1881, un an avant le tirage au sort pour le service militaire, il signe son engagement conditionnel pour un an (à l'époque la durée du service était de 4 ans ou de 6 mois à un an selon le tirage au sort) et effectue donc son service militaire de novembre 1881 à novembre 1882, au 38e régiment d'infanterie de Saint-Étienne. Il devient sergent peu avant la fin de l'année.
En 1887, il est nommé sous-lieutenant de réserve ; lieutenant en 1896, au 104e régiment territorial d'infanterie caserné à Roanne. Il est enfin nommé capitaine en 1904, toujours dans l'armée territoriale (1).
1 - L'organisation militaire comportait quatre niveaux : l'armée d'active (hommes de 21 à 23 ans faisant leur service + les militaires professionnels) : l'armée de réserve (24 à 33 ans) ; l'armée territoriale (34 à 39 ans) ; la réserve de l'armée territoriale (40 à 45 ans auxquels on a joint en 1914 ceux de 46 à 49 ans) ; les officiers de l'armée territoriale peuvent, sur leur demande, et s'ils remplissent encore les conditions d'aptitude nécessaires, être maintenus dans le cadre des officiers de ladite armée jusqu'à l'âge de 65 ans pour les officiers supérieurs et de 60 ans pour les autres : ce qui était le cas de Joseph Déchelette.
fiche matricule de Joseph Déchelette
fiche matricule de Joseph Déchelette, né le 6 janvier 1862
Joseph Déchelette
de Roanne
1862-1914
Dans la phalange des anciens élèves du collège Sainte-Marie morts glorieusement pour la France, au cours de la guerre d’une grandeur épique qui vient de finir par la victoire française, un nom se détache et mérite d’être mis en lumière. C’est le nom de Joseph Déchelette, un savant qui, aux premières heures si tristes de l’invasion, a demandé à sacrifier sa vie et, par un singulier hasard, est tombé en héros à Vingré (Aisne), au voisinage des vastes nécropoles gauloises décrites par lui dès 1911 et dont il évoquait encore le souvenir, à la veille de succomber.
Né à Roanne, le 8 janvier 1862, Joseph Déchelette appartenait à une vieille famille de Montagny (Loire), profondément attachée aux traditions de la religion catholique.
À l’exemple de ses deux frères, Eugène, qui devait plus tard jouer un rôle important dans l’industrie, et Joanny, aujourd’hui évêque d’Évreux, il fut envoyé en 1871 au collège des Maristes, à Saint-Chamond. Il en sortit en 1879 avec le diplôme de bachelier. Ses professeurs et ses camarades le considéraient comme un écolier studieux, d’esprit clair, de volonté tenace ; ils appréciaient sa droiture et sa loyauté. Cependant aucun indice ne permettait de prévoir qu’il serait un jour un des meilleurs historiens de nos origines celtiques et que l’Institut le marquerait du signe de ses élus.
Après coup, il est vrai, ceux qui l’ont connu depuis son enfance et qui ont vécu de sa vie se souviennent que dans la maison bourguignonne de Saint-Didier-en-Brionnais où chaque année se réunissait, lors des vacances, sa famille maternelle, Joseph Déchelette collectionnait avec une naïve curiosité «parce que, disait-il, c’étaient des choses datant du déluge», des ammonites recueillies sur les remblais d’une carrière de pierre calcaires.
Son oncle, Gabriel Bulliot, le célèbre explorateur de la Bibracte celtique, au Mont-Beuvray, fut son véritable initiateur. Joseph prêtait une oreille attentive à ses conversations sur la civilisation gauloise ou sur l’art roman et l’accompagnait quand il entreprenait un pèlerinage archéologique à Varennes, à Anzy ou à Semur-en-Brionnais. Peu à peu s’ébauchait ainsi sa vocation.
Gabriel Bulliot (à droite) avec des topographes militaires (source)
Avant de s’y livrer entièrement, il dut faire à Roanne un stage de plusieurs années dans l’industrie du tissage de coton qui était celle de son père et de son frère Eugène ; mais déjà il employait ses loisirs à l’étude des arts de la période médiévale et, membre de la Société archéologique de la Diana, à Montbrison, et de la Société Éduenne à Autun, il confiait ses premières monographies aux Bulletins de ces associations régionales et à une revue qui eut son heure de prospérité, le Roannais Illustré, 1889-1890.
Il amassait en mêmes temps d’innombrables matériaux, se constituant une bibliothèque qui, à la suite du legs de ses livres, des manuscrits et des papiers de son parent Chaverondier, l’érudit archiviste du département de la Loire, prit les proportions d’une bibliothèque publique.
Ses lectures alternaient d’ailleurs avec des voyages. Il parcourut l’Espagne, le Portugal, la Palestine, la Syrie, la Grèce, l’Égypte et l’Algérie, afin de voir sur place les vestiges des anciennes civilisations et de s’imprégner de l’antiquité classique. Jusqu’à son départ aux armées, en 1914, tous les ans, il renouvela ses excursions dans les principaux musées de France, de Belgique, d’Autriche-Hongrie, d’Allemagne et d’Angleterre. Ses séjours en Italie, spécialement à Rome, furent de longue durée.
Il avait quitté l’industrie en 1899 et s’était exclusivement consacré à l’archéologie. C’es alors que réfugié dans le bel hôtel qu’il avait acheté à Roanne et où il avait installé sa merveilleuse collection de livres, il eut la patience de recommencer l’étude du grec et du latin, d’apprendre plusieurs langues : l’anglais, l’allemand, l’espagnol, l’italien, le tchèque et le portugais pour mieux s’assimiler les travaux scientifiques de l’étranger.
D’autre part, il fréquentait les congrès archéologiques et nouait des relations avec les principaux savants français : MM. Héron de Villefosse, Salomon Reinach, Camille Jullian, etc.
Cependant son oncle Gabriel Bulliot l’attirait dans son orbite, en faisait son élève et l’associait aux fouilles de Bibracte, une des plus merveilleuses découvertes de notre sol gaulois.
De 1897 à 1901 il lui avait confié le soin de continuer des recherches que Joseph Déchelette n’a jamais abandonnées après la mort de Bulliot en 1902 et dont il a publié les résultats : Recherches du Mont Beuvray, de 1897 à 1901 (Paris, A. Picard, 1904).
Spécialisé dans l’archéologie celtique et gallo-romaine, il ne tarda pas à devenir un des maîtres de cette science. Son autorité s’étendit dans toute l’Europe ; on le consultait ; les revues se disputaient ses articles ; on le mandait, dès qu’une question difficile se présentait, comme en témoigne la mission (octobre 1913) en Carniole qu’il reçut d’une princesse allemande, la grand-duchesse de Mecklembourg-Schwérin.
Il avait dû renoncer à ses études sur le Moyen Âge qui nous avaient valu un livre illustré, édité sous le patronage de la Diana, en collaboration avec Eleuthère Brassart et le chanoine Reure : Les peintures murales du Moyen Âge et de la Renaissance en Forez (1900).
Trois ouvrages consacrèrent définitivement sa renommée : Les vases céramiques ornés de la Gaule romaine (1904, Paris, 3 vol. in-4° avec 1700 dessins, éd. A. Picard) ; le Manuel d’archéologie préhistorique, gauloise et gallo-romaine (Paris, 4 vol. in 8°, édit. A. Picard, 1908-1914) ; la Collection Million. Antiquités préhistoriques et gallo-romaines (Paris, un vol. In 54°, 1913, 48 pl. et 58 fig., édit. A. Picard).
Ces ouvrages reflètent sa robuste intelligence et donnent la clef de sa méthode.
Esprit lumineux, précis, synthétique, fermé aux théories nébuleuses, mais ouvert aux vues d’ensemble : quand il abordait un sujet, Joseph Déchelette s’y préparait toujours par un double travail. Il visitait les vestiges, les monuments ; décrivait les objets, les dessinait, les classait par groupes, les comparait entre eux ; puis lisait tout ce qui avait été écrit sur la matière. Son plan une fois arrêté, il traçait le tableau des chapitres et des paragraphes ; il rédigeait enfin d’un seul trait. Son style était simple et élégant.
Un savant éminent, membre de l’Institut et conservateur du musée d Saint-Germain, Salomon Reinach, avec qui il était lié d’amitié, exerça sur lui une influence prépondérante et contribua à développer son goût des idées générales.
Pour Joseph Déchelette en effet l’archéologie n’était pas une science de pure curiosité, mais un instrument de reconstitution des époques auxquelles appartiennent des reliques s’apparence quelquefois insignifiante, aux yeux du vulgaire.
Que d’aperçus originaux, que de vérités méconnues, que de remarques ingénieuses se retrouvent sous sa plume et quelle clarté inattendue il a fait rayonner autour de la civilisation gauloise !
Ses excursions dans l’oppidum celtique de Stradonitz (Bohème) et la traduction qu’il donna de l’ouvrage en tchèque de L. Pic lui permirent, par exemple, par l’analogie que présente cet oppidum avec celui de Bibracte, de démontrer l’unité de la civilisation des Celtes et la diffusion des mêmes mœurs dans les centres qu’ils avaient créés en Europe.
Son traité des Vases ornés de la Gaule romaine fut une révélation et causa une profonde surprise.
C’est un inventaire complet des poteries rouges dites sigillées fabriquées dans la Gaule romaine, à l’imitation des poteries d’Arezzo. Joseph Déchelette qui s’était adressé à tous les collectionneurs et avait lui-même entrepris des fouilles, a classé topographiquement et chronologiquement les ateliers céramiques gallo-romains, après avoir relevé 203 noms de potiers (ateliers de Saint-Rémy, de Vichy, de Gannat, de la Graufesenque, de Lezoux, etc…) et après avoir groupé les vases en séries, selon leurs formes, leur décoration ornementale et leurs motifs figurés.
Grâce à ce classement minutieux, la présence de simples tessons au milieu d’une fouille permet de dater les objets découverts. L’ordre a succédé au chaos. L’archéologue possède maintenant un chronomètre sûr ; de même que l’historien, à l’examen de ces parties essentielles du mobilier gallo-romain, peut se rendre compte des préférences artistiques, de la mode chez nos ancêtres des premiers siècles de l’ère chrétienne.
En 1905, sur les conseils de Salomon Reinach, l’éditeur parisien Auguste Picard demanda à Joseph Déchelette un Manuel d’archéologie préhistorique, gauloise et gallo-romaine.
Il accepta cette lourde tâche que seul du reste il pouvait accomplir et y travailla pendant neuf ans.
Son livre est un véritable chef d’œuvre, un parfait exposé de l’état de nos connaissances sur ce cycle qui plonge dans la nuit des temps.
Les trois premiers volumes ont été mis en vente de 1908 à 1912. Joseph Déchelette y a fait revivre notre préhistoire de l’âge de pierre et notre protohistoire de l’âge du bronze (période hallstattienne).
Le quatrième volume, le dernier paru (juin 1914), qui embrasse l’époque de l’âge du fer (époque de la Tène), c’est-à-dire les cinq siècles qui précédèrent la naissance de J.-C., est un tableau largement brossé de la civilisation celtique. Toutes les découvertes relatives à cette civilisation qu’il connaissait mieux que personne sont inventoriées et classées : les habitations des celtes, leurs oppida, leurs sépultures, leur mobilier, leurs armes, leurs bijoux, leur outillage, leur poterie, leurs procédés industriels, leurs entrepôts et les routes suivies par les commerçants. La comparaison de milliers de documents l’amène à confirmer la conclusion qu’il avait déjà formulé à propos de l’Hradischt de Stradonitz et que les archéologues avaient à peine soupçonnée : l’uniformité de la civilisation celtique en Europe.
Entre temps (1913) sous la forme d’un catalogue illustré et raisonné de la célèbre Collection Million à Dijon, collection qui avait trait au second âge de fer en France, Joseph Déchelette publia une œuvre capitale dans laquelle il développe la solution de nombreux problèmes ébauchés dans son Manuel.
Déjà il mettait la dernière main au cinquième volume du Manuel consacré aux monuments romains en Gaule, quand brusquement éclata la guerre.
Joseph Déchelette était un ardent patriote. Capitaine d’infanterie territoriale, affecté aux services intérieurs, il avait le droit, à raison de son âge, de ne pas être envoyé en première ligne dans les troupes d’assaut ; mais cette idée du moindre danger lui était insupportable. Il s’en ouvrit à sa jeune femme - (il avait épousé au mois de mai 1905 Melle Jane Bonnier, fille d’un bibliophile distingué, ami de son frère Eugène) - et celle-ci, qui partageait les travaux de son mari dont elle était le secrétaire intelligent, fut la première, malgré ses angoisses, à l’encourager stoïquement à choisir la voie du sacrifice.
Déchelette obtint un commandement dans un régiment de réserve du Roannais, le 298e, qui s’est couvert de gloire par la prise d’un drapeau allemand.
Il partit pour le front, poussé à la fois par son patriotisme et par la curiosité de voir, lui qui avait écrit l’histoire, comment elle se faisait.
Dans une lettre d’une fière allure adressée le 20 septembre à un autre historien des Gaules, Camille Jullian, et qu’a citée Salomon Reinach (Revue archéologique, 1914), cette préoccupation semble percer :
- «L’heure, disait-il, n’est plus guère à l’histoire des temps antiques, quand celle de notre patrie s’accroît de jour en jour de pages si glorieuses. Mais le passé est inséparable du présent. Je ne doute pas que cette bataille de la Marne, livrée sur l’emplacement de grandes nécropoles gauloises, ne vous ait donné, comme à moi, une patriotique et réconfortante vision. Épée de la Tène ou fusil modèle 1886, c’est toujours la même lutte de l’âme celte contre la brutale agression des Germains. Les compagnons des guerriers de Somme-Bionne et de la Gorge Meillet (1) ont vu passer nos troupes victorieuses. Heureux les jeunes qui prennent part à ces luttes formidables ! Les pauvres territoriaux comme moi se résignent pour le moment au rôle d’instructeurs. J’ai pu reprendre le commandement de ma compagnie. Nous espérons bin qu’on nous donnera bientôt un rôle plus actif…»
Quelques jours après avoir réalisé son désir, le 3 octobre 1914, à Vingré (Aisne), il tombait mortellement frappé par un éclat d’obus. On le transporta dans une grange du voisinage, à demi ruinée par les projectiles. Il demanda un prêtre, reçut en pleine connaissance les secours de la religion et s’éteignit le lendemain, 4 octobre. Ses hommes pleuraient autour de son cercueil.
Une citation à l’ordre de l’armée, insérée au Journal Officiel, est le plus éloquent des hommages rendus à son héroïsme :
«Déchelette, capitaine de territoriale au 298e régiment d’infanterie, a été tué le 3 octobre, alors qu’il entraînait sa compagnie, sous un feu violent d’artillerie et d’infanterie, et lui avait fait gagner 300 mètres de terrain. Avant de mourir, a demandé au lieutenant-colonel commandant le régiment si l’on avait gardé le terrain conquis, et sur sa réponse affirmative lui a exprimé sa satisfaction en ajoutant qu’il était heureux que sa mort servît la France».
Et maintenant il repose provisoirement dans un petit jardin du hameau de Vingré, au pied d’une stèle de pierre très simple, longtemps fleuri par des mains pieuses.
Sa mort a été un deuil cruel non seulement pour ses proches, mais pour la science.
Chez lui les qualités de l’homme privé rehaussaient celles du savant. Aimable et bon, sans aucune vanité, généreux et serviable, il savait se mettre à la portée des plus humbles. Ses parents et ses amis l’adoraient ; de sa maison il avait fait le plus hospitalier des foyers. Il accueillait d’un sourire, avec une humeur toujours égale ses nombreux visiteurs, et ceux qui l’ont approché n’oublieront jamais le regard si France et à peine teinté d’ironie qui illuminait sa figure. À l’exemple de tous les grands travailleurs qui appliquent à l’utilisation du temps une discipline méthodique, il ne paraissait jamais pressé et ne dédaignait pas les distractions mondaines ou familiales.
Chevalier de la Légion d’honneur, il était membre correspondant de l’Institut depuis 1911 et membre de la plupart des Académies d’Europe.
En 1915, l’Académie française lui a décerné le prix Lambert dont le montant, par un noble geste de sa femme, a été cédé à des œuvres de guerre.
Un comité composé des représentants les plus illustres de l’Institut et de l’Archéologie, sous la présidence de M. Héron de Villefosse et sous la direction du comte Costa ed Beauregard, a eu la touchante pensée de faire graver par le médailleur Henry Nocq une plaquette de bronze, à la glorification de sa mémoire. Au revers, un sabre d’officier français se croise avec une épée gauloise sous une couronne de lauriers d’un beau relief. Une légende accompagne cet emblème, au haut et au bas de la médaille :
Galliæ reliquias illustravit, pro Gallia miles cecidit.
[Il honora les vestiges de la Gaule. Le soldat est mort pour la France]
Le nom de Joseph Déchelette ne périra pas.
Il sera inscrit sur le Livre d’or du collège où cet administrateur de l’Antiquité avait puisé ses premières notions classiques.
1 - En 1873, furent mises à jour des sépultures gauloises dont une tombe à char sur le territoire de la commune de Somme-Bionne, dans la Marne. Et en 1876, fut découverte à la Gorge-Meillet [auj. Gorge-Mailly] sur le territoire de la commune de Somme-Tourbe (Marne), une extraordinaire tombe de chef gaulois enterré en armes sur son char de guerre, son casque de bronze déposé à ses pieds.
Joseph Déchelette est mort à Vingré (Aisne)
Vingré (Aisne), le village
Vingré (Aisne), ruines du village
l'hommage de Maurice Barrès à Joseph Déchelette
Dans Les diverses familles spirituelles de la France (1917), l'écrivain Maurice Barrès cite le nom et les mots de Joseph Déchelette.
Maurice Barrès, 1917 (éd. 1930, source)
l'hommage de la Société éduenne à Joseph Déchelette
La société savante d'Autun (société éduenne) dont Joseph Déchelette était membre lui a rendu hommage en 1919. Ci-dessous, un extrait relatif aux derniers moments du célèbre archéologue. (source)
la tombe de Joseph Déchelette, dans la nécropole d'Ambleny (Aisne)
la nécropole d'Ambleny, près de Soissons
nécropole d'Ambleny où est enterré Joseph Déchelette
tombe de Joseph Déchelette, nécropole d'Ambleny (Aisne) (source)
nécropole du Bois-Roger à Ambleny (Aisne) (source)
nécropole d'Ambleny (Google maps, juin 2015)
nécropole d'Ambleny (Google maps, juin 2015)
Joseph Déchelette, mort le 4 octobre 1914
- retour à l'accueil