photographie aérienne,
fin années 1940, début 1950
carte postale ayant été postée en 1952
La photographie ayant servi au tirage de cette carte postale date probablement de la fin des années 1940 ou du début des années 1950. L'école n'a pas encore acquis le terrain qui accueille aujourd'hui le gymnase. Par ailleurs, autour de l'Institution, une grande partie du paysage est encore constituée de champs ou de grands jardins.
Souvenirs personnels/ G. Chevalier
Gabriel COURBON
Bonjour,
Votre site m'a intéressé. Je n'ai jamais été élève de
cet établissement mais mon père en était le cordonnier. Il se rendait
régulièrement à Sainte-Marie (années 1950/60) dans la cour de l'école. Il
signalait sa présence par un coup de sifflet. Les élèves lui
apportaient les chaussures à réparer et il les ramenait la fois
suivante. Il venait à pied avec une remorque depuis son magasin situé
36 rue de la République.
Si quelqu'un l'avait pris en photo je serais heureux de l'avoir.
Concernant
Gabriel Chevalier il faut signaler que Sainte Colline est l'école
Sainte-Marie et que Saint Chamond est transposé en Valmonciel. Ce roman
fort irrespectueux relate l'année scolaire 1912. Il a été écrit en 1937.
Cordialement.
Gabriel Courbon
nouvel élève illustre
Cher Monsieur,
En consultant votre site, et notamment la liste des anciens élèves illustres de l'Institution Sainte-Marie de Saint-Chamond, je suis étonné de constater que le compositeur Jean-Louis Florentz (1947-2004) n'y figure pas.
Il est l'un des compositeurs français les plus importants de la fin du XXe siècle et fut membre de l'institut. Sa personnalité a été considérablement influencée par les années (de la sixième au baccalauréat) passées à Sainte-Marie. L'orgue de la chapelle, qu'il joua abondamment, fut l'instrument déclencheur de sa vocation musicale. Vous pouvez consulter le site qui lui est consacré : jeanlouisflorentz.org
Je reste à votre disposition pour de plus amples renseignements.
Cordialement
Michel Bourcier
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Merci
Merci beaucoup, cher Monsieur, pour cette information.
- sur le site mentionné, la biographie de Jean-Louis Florentz par lui-même
anciens élèves de Sainte-Marie
devenus célèbres
Reçu, ce 29 mai 2008, de Philippe-Charles Chiron ces précieux renseignements :
Anciens élèves du collège Sainte-Marie :
Henri Vidal (acteur de cinéma aux côtés de Michèle Morgan, élève en 36 ?)
Pierre Termier : le grand vulcanologue, premier savant à étudier les volcans...
Gabriel Chevalier, auteur de Clochemerle et de Sainte Colline...
Merci beaucoup.
Ainsi donc, aux côtés d'Antoine Pinay, Président du Conseil en 1952, et du coureur automobile Alain Prost, le collège Sainte-Marie de Saint-Chamond a connu d'autres élèves au parcours ultérieur remarquable.
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Henri Vidal, comédien
né le 26 novembre 1919 à Clermont-Ferrand ; a épousé l'actrice Michèle Morgan en 1950 ; décédé le 10 décembre 1959
Henri Vidal dans cinema.encyclopedie
Sa grande beauté lui permet d'être élu "Apollon" de l'année 1939. Repéré par Edith Piaf, cet inconnu du monde du cinéma débute à ses côtés dans Montmartre-sur-Seine (Georges Lacombe, 1941).
Venu au cinéma grâce à son physique de jeune et beau sportif musclé, Henri Vidal en joue pendant les dix premières années de sa carrière cinématographique, interprétant les gladiateurs dans Fabiola (Alessandro Blasetti, 1947), ou encore les capitaines dans Le paradis des pilotes perdus (Georges Lampin, 1948). René Clément, dans Les maudits (1946), met à profit son talent d'acteur. A partir des années cinquante, il prouve qu'il sait aussi interpréter des drames : La jeune folle (Yves Allégret, 1952) ou les Les salauds vont en enfer (Robert Hossein, 1955). Aux côtés de son épouse, Michèle Morgan, il joue dans La belle que voilà (Jean-Paul Le Chanois, 1949), Napoléon (Sacha Guitry, 1954) ou encore Pourquoi viens-tu si tard ? (Henri Decoin, 1958). Dépressif, Henry Vidal sombre dans la drogue. Il meurt à 40 ans le 9 décembre 1959.
- une vidéo avec Michèle Morgan et Henri Vidal
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Pierre Termier, géologue
1859-1930
ancien élève de l'École Polytechnique, dont il sort major en 1880, et de l'école des Mines de Paris, membre de l'Académie des sciences
court extrait de la longue notice consacrée à Pierre Termier par Eugène Raguin
Notice lue à la Séance générale annuelle de la Société géologique, le 15 juin 1931. Publiée dans Annales des Mines, 1932, t.I
Pierre Termier est né le 3 juillet 1859 à Lyon. Ses parents étaient d'un milieu très simple, travaillant l'un et l'autre, sa mère dans la soierie et son père voyageur de commerce. L'enfant ressentit profondément l'influence de cette famille sérieuse, vouée au culte du devoir, catholique et traditionnelle. Il fit toutes ses études, jusqu'au baccalauréat, au collège des Maristes de Saint-Chamond et reçut une formation littéraire telle qu'on savait la donner à cette époque, et dont toute sa vie demeura imprégnée. (...)
- biographie de Pierre Termier
Pierre Termier à l'École Polytechnique en 1878
biographie de Pierre Termier
Pierre Termier, né à Lyon le 3 juillet 1859 et mort à Grenoble en 1930, est un géologue français. Il a étudié les mouvements tangentiels dans les Alpes. C'est un spécialiste de la tectonique et de la synthèse structurale de la chaîne des Alpes.
Il suit une formation littéraire et scientifique chez les Maristes de Saint-Chamond et sort major de polytechnique à 21 ans en 1880 puis entre à l'École des mines. Il est très vite passionné par les sciences de la Terre et surtout l'étude de la chaîne alpine (dès 1879).
Le 8 août 1894, il succède à Mallard à la Chaire de minéralogie et pétrographie de l'École des mines de Paris après avoir occupé depuis 1885 celle de géologie, minéralogie et physique à Saint-Étienne, où Marcel Bertrand et A. Michel-Lévy l'avaient remarqué. Il exécute des missions géologiques dans les Alpes, en Tunisie, en Russie, au Maroc...
En 1903, il fut le premier lauréat du prix Prestwich de la Société géologique, décerné par Albert de Lapparent.
Il fut fait Docteur honoris causa de l'Université d'Innsbruck.
En 1906, le prix Wilde lui fut décerné par l'Académie des sciences.
En 1909, il entre en section minéralogie à l'Académie des Sciences, dont il deviendra Président.
En 1911, à la mort d'Auguste Michel-Lévy, il lui succéda comme Directeur du Service de la Carte Géologique.
En 1912, il fut nommé Professeur de Géologie à l'Ecole des Mines de Paris.
En 1914, il fut nommé Inspecteur général des Mines.
Le prix Albert Gaudry lui fut décerné par la Société géologique en 1920.
source : À la gloire de la Terre, souvenirs d'un géologue,
Pierre Termier, 1930 (?)
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Gabriel Chevallier, écrivain, auteur de Clochemerle (1934)
né le 3 mai 1895 à Lyon, mort le 5 avril 1969 à Cannes
- sur Gabriel Chevallier, écrivain
- un extrait de Sainte Colline (site Golias-editions.fr)
à compléter...
intérieur de la chapelle de l'école
Sainte-Marie
Saint-Chamond, intérieur de la chapelle dans l'école Sainte-Marie
le givre sur les arbres de Sainte-Marie
le 19 décembre 2007
la cour arborée en début de matinée
Sainte-Marie, 19 décembre 2007
quelques vues de Sainte-Marie
le lundi 18 décembre 2007 au matin
Il faisait 5° au dessous- de zéro ce matin-là.
à 8 h 40, cour déserte et givre sur l'herbe
une aire sportive guère fréquentée...
Jeanne d'Arc veille...
par rapport à 1958, les disgracieuses cheminées ont disparu...
la route du Coin, descendant vers la gare
portail et entrée
de l'école Sainte-Marie en 1958
carte postale semi-moderne éditée en 1958
